Figure 1

Download original image
Mécanismes de l’anovulation induite par l’hyperprolactinémie. Le schéma montre que le PRLR est exprimé par les neurones à kisspeptine, mais pas par les neurones à GnRH. En situation d’hyperprolactinémie, il existe une diminution de la sécrétion de kisspeptine, ce qui induit en aval une baisse de la sécrétion de GnRH, la réduction de la sécrétion de LH et FSH par l’hypophyse, et donc l’anovulation. La prolactine pourrait également avoir des effets directs sur d’autres neurones afférents aux neurones à GnRH. De plus, l’implication d’autres facteurs non neuronaux affectant la sécrétion de kisspeptine ou de GnRH ne peut être exclue. (D’après Bernard et al., 2015).
Les statistiques affichées correspondent au cumul d'une part des vues des résumés de l'article et d'autre part des vues et téléchargements de l'article plein-texte (PDF, Full-HTML, ePub... selon les formats disponibles) sur la platefome Vision4Press.
Les statistiques sont disponibles avec un délai de 48 à 96 heures et sont mises à jour quotidiennement en semaine.
Le chargement des statistiques peut être long.