Figure 2

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1. Les messages nociceptifs prennent naissance au niveau des nocicepteurs périphériques cornéens dont les corps cellulaires sont distribués dans le ganglion trigéminé. Ces neurones projettent dans le complexe sensitif du trijumeau où ils font relais avec les neurones de second ordre. L’information nociceptive est alors transmise vers les centres supérieurs et peut être modulée par des voies descendantes. Adapté de Rosenthal & Borsook (2012). (Copyright Surface Oculaire, Rapport SFO 2015, Partie 1, Chapitre 6, page 60). 2. Lors d’une atteinte cornéenne, il se produit une inflammation neurogène : les terminaisons nerveuses libèrent des neuromédiateurs capables d’influer sur le chimiotactisme des cellules leucocytaires et la réponse immunitaire. 3. Cette inflammation locale va augmenter l’excitabilité des terminaisons nerveuses. Adapté de Chiu et al. (2012). (Copyright Surface Oculaire, Rapport SFO 2015, Partie 1, Chapitre 6, page 60). Lors d’une stimulation nociceptive, les récepteurs canaux de type TRP (Transient Receptor Potential) vont être activés conduisant à l’ouverture des canaux sodiques voltage-dépendants, générant des potentiels d’action qui se propagent le long de l’axone des neurones cornéens. Adapté de Rosenthal & Borsook (2012). (Copyright Surface Oculaire, Rapport SFO 2015, Partie 1, Chapitre 6, page 60).
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